Recherche par lecteur : Françoise Clerc-Renaud
3215 résultats. Page 83 sur 161.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 2h. 31min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 32743
Résumé:" ... Au village, la plupart des gens firent comme s'ils avaient toujours cru en l'innocence de l'instituteur. Aucun d'entre eux n'aurait avoué qu'il était parmi ceux qui criaient " À mort, le monstre ! " Eux aussi en sortirent blancs comme neige, et avec un tel naturel qu'on aurait pu les croire de bonne foi. " L'histoire exemplaire, tragique et particulièrement émouvante d'un jeune instituteur, nouvellement arrivé dans une école et adoré par toute la classe. Jusqu'au jour où tout bascule... Un texte magnifique de pudeur, de retenue et d'émotion.
Lu par : Françoise Sellem
Durée : 3h. 44min.
Genre littéraire : Science-fiction
Numéro du livre : 32741
Résumé:A la suite de la Guerre Ultime, la Terre est recouverte par un gigantesque océan. Dans une immense bulle flottant au gré des courants, vivent quelques milliers d'habitants, seuls rescapés de ce chaos. Parmi eux, deux adolescents que tout oppose.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 14h. 19min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32737
Résumé:"Il avait seize ans. Pendant six ans, il avait écouté parler des hommes. Depuis six ans, il avait entendu la fine fleur de tout ce qu'ils disaient (...) de la brousse, des grands bois, plus vastes et plus anciens qu'aucun titre enregistré (...). Ce qu'ils disaient des hommes, ni blancs, ni noirs, ni rouges, mais des hommes, des chasseurs (...) t des chiens, de l'ours et du cerf (...) le plus beau de tut ce qu'on entendait, les voix que l'évocation du passé, le souvenir, le souci d'exactitude rendaient contenues, graves, circonspectes... Puis il eut vingt et un ans. "
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 7h. 11min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32575
Résumé:À La Havane, une petite fille aux yeux clairs et aux cheveux crépus négocie le difficile tournant de l'enfance à l'adolescence, dans une famille condamnée à la cohabitation par les conditions sociales du pays : un père, officier de toutes les guerres de la Révolution, une mère argentine droguée au tango, une tante amateur d'opéra, un oncle masseur et une grand-mère plaintive, gardienne de la morale. L'enfant va peu à peu découvrir que tout le fragile édifice familial ne tient que sur le mensonge, à commencer par ses origines à elle ; ses cheveux crépus lui font découvrir la faute cachée et inavouable de la grand-mère : un grand-père noir et très sympathique, puis l'homosexualité de l'oncle, la double vie du père... Celle qu'on a surnommée P'tit Mec fuit la famille pour les amis de son âge, fréquente les fêtes des années 80, les débats où l'on refait le monde, et goûte à la drogue, loin de l'apocalypse annoncée du système politique. Également étrangère à cet univers, tout aussi faux que celui de sa famille, l'adolescente cherche sa voie dans la solitude et le silence. Karla Suârez utilise une langue originale, moderne, directe et lucide, séduisante par son rythme expressif et sa concision. Ce premier roman construit autour de personnages attachants, loin des clichés, révèle des aspects inattendus de la Cuba actuelle.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 4h. 4min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 32579
Résumé:"La nuit avant sa mort il n'a pas dormi beaucoup. A-t-il même dormi ? Est-ce que son rêve ne signifiait pas qu'il avait dormi ? Ou ce n'était pas un rêve ? Quand il s'est réveillé, la peur était toujours palpable. S'il s'est réveillé. S'il a effectivement dormi. Le cadavre n'était pas reconnaissable. En tout cas il ne pouvait pas l'identifier d'un simple coup d'oeil." Avant ils étaient heureux, une famille heureuse, et puis ils l'avaient appris et leur vie était devenue un enfer. Ils ont tout caché, surtout pour leur fille, mais se sont engagés à lui parler le jour de ses 18 ans. Tous les trois ils ont attendu ce jour et craint son arrivée. La mère veut, contre vents et marées, tenir sa promesse. Le père doute que la vérité les libère du cauchemar qu'est leur vie. La fille se révolte, essaie de survivre, de les tenir à l'écart, elle les hait autant qu'elle les aime, et elle vit loin d'eux, entourée d'amis bien intentionnés, qui l'aiment. Arni Thorarinsson écrit ici avec virtuosité l'histoire inquiétante d'une journée fatale, dont le souvenir obsède longtemps le lecteur, épouvanté et désolé de ce grand gâchis que peut être toute vie. Nous découvrons ici un nouvel aspect de l'immense talent de cet auteur.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 12h. 48min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 32560
Résumé:Ainsi parlait Zarathoustra est une œuvre philosophique magistrale. Elle a bouleversé la pensée de l'Occident. " Nietzsche démolit, il sape ", disait Gide. Il remet définitivement l'homme en question. Poète-prophète, Zarathoustra se retire dans la montagne et revient parmi les hommes pour leur parler. Sa leçon essentielle : " Vouloir libère " Son leitmotiv : rejeter ce qui n'est pas voulu, conquis comme tel, tout ce qui est subi. C'est le sens du fameux : " Deviens celui que tu es. " La vertu est souvent le droit du plus faible, elle paralyse tout, désir, création et joie. Le surhomme nietzschéen est celui qui a la plus grande diversité d'instincts qui s'opposent puissamment mais qu'il maîtrise. La pensée de Nietzsche est un défi permanent. Elle échappe à tout système politique.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 24h. 34min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32555
Résumé:Réflexion sur la violence faite aux femmes, sur l'identité malheureuse, le racisme et l'incommunicabilité sociale, ce roman noir, étouffant dégage une violence animale et rédemptrice : chacun s'y bat pour conserver son intégrité et, dans la boue, le sang, la pitié, garder l'illusion de la pureté.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 26h. 36min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 32557
Résumé:Cette Semaine Sainte est celle du 19 au 26 mars 1815. Le débarquement de l'île d'Elbe a eu lieu et " Bonaparte " a déjà dépassé Lyon. Louis XVIII est en fuite. Une indescriptible cohue l'accompagne, une foule de gens qui courent aussi vite qu'ils le peuvent de Paris à Béthune. C'est la Maison du Roi, la cour, les dignitaires, des maréchaux, les troupes qui sont restées loyales. La France, encore une fois, se trouve partagée en deux. Il y a la France du passé qui fuit avec Louis XVIII, et celle du présent, avec ses aspirations, ses espoirs, qui regarde du côté de Napoléon. L'empereur est-il plus proche de la Révolution, plus proche du peuple que les Bourbons ? Un tel livre, un tel roman est impossible à résumer. C'est le tableau de tout un peuple à un tournant de son destin, c'est l'immense poème épique d'une société saisie au milieu de ses convulsions les plus caractéristiques. C'est une somme poétique, historique, romanesque, l'un des plus beaux livres d'Aragon.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 14h. 22min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 32562
Résumé:Quel travail mérite salaire ? Un gouvernement devrait-il être moralement neutre ? Qu'est-ce que la liberté ? Sommes-nous propriétaires de nous-mêmes ? Le patriotisme est-il une vertu ?... Michael J. Sandel excelle dans l'art d'aborder, sous un angle éthique, les questions politiques les plus complexes en les ramenant à des enjeux dont chacun peut aisément se saisir.
Lu par : Françoise Prêtre
Durée : 16h. 56min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 32772
Résumé:Chicago, 1931. Asta Eicher, jeune veuve mère de trois enfants, est seule et désespérée. Quand Harry Powers, un galant inconnu, la courtise et lui promet de l'épouser, elle est persuadée que la vie lui offre une seconde chance. Quelques semaines plus tard, Asta et ses enfants sont retrouvés morts, assassinés. Emily Thornhill, une des rares femmes journalistes de l'époque, se charge alors de couvrir l'enquête et tâche de comprendre ce qui est arrivé aux Eicher, particulièrement à Annabel, une enfant à l'imagination débordante qui semble dotée d'étranges facultés. Tous les vivants est une fiction inspirée d'un crime célèbre. Avec une grande profondeur psychologique et au moyen de documents d'époque, Jayne Anne Phillips fait parler et revivre la famille Eicher ainsi que son meurtrier quelques jours avant le drame, jusqu'au procès public de celui qu'on appellera " le Barbe bleue des temps modernes " . Jayne Anne Phillips fait son grand retour avec ce roman tiré d'un fait divers tragique qui hante à jamais l'Amérique et inspira le chef d'oeuvre de Charles Laughton La nuit du chasseur. A l'instar de De sang froid de Capote, Tous les vivants nous plonge au coeur d'un drame saisissant, porté par l'écriture lyrique d'un auteur qui se confronte à la fois au réel et au surnaturel.
Lu par : Françoise Vermeeren
Durée : 4h. 13min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 32792
Résumé:En 1871 au Texas, alors que la Commune, à Paris, s'achève dans un bain de sang, Greene se retrouve loué par l'administration pénitentiaire à un planteur de coton. Dans ce bagne où règne une chaleur inhumaine, le jeune hors-la-loi, un boulet rouge à la cheville, va lutter pour survivre, avec en tête une seule pensée: s'évader. Entouré d'assassins, placé sous la vigilance de matons brutaux et dans la ligne de mire d'un omniprésent tireur d'élite, Greene comprendra vite qu'il n'a aucune chance de s'échapper seul. Il va dès lors user, dans l'espoir de sauver sa peau, des moyens les plus radicaux pour amener ses camarades de chaîne à la rébellion... L'unique western, violent et sauvage, écrit par l'auteur du Petit Bleu de la côte Ouest. Ecrit en 1972, un an après Laissez bronzer les cadavres ¡. premier roman de Jean-Patrick Manchette et Jean-Pierre Bastide L'homme au boulet rouge confirme magistralement, par le biais d'un texte atypique, l'èmergence d'une littérature de genre où jaillit la critique sociale et politique. Ce nouveau souffle, qui trouva son expression idéale dans la littérature noire, a marqué un des temps forts du roman policier français contemporain.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 30h. 9min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32541
Résumé:Milieu des années 1980, Thermopylae, petite ville de Caroline du Nord. Marié, deux enfants, Raleigh Wittier Hayes, 45 ans, est aux yeux de tous un citoyen modèle et un bon père de famille. Agent d'assurances prospère, il ne laisse rien au hasard, et sa retraite est aussi soigneusement planifiée que son existence. Le jour où il apprend que son père, Earley, a disparu de l'hôpital en vidant ses comptes, pour prendre la route dans une Cadillac cabriolet jaune en compagnie d'une adolescente noire qu'il dit vouloir épouser, l'existence de Raleigh vole en éclats. A la recherche de son père, notre homme va devoir affronter des épreuves plus riches en rebondissements les unes que les autres. A l'issue de ce formidable périple initiatique, l'ennuyeux et routinier Raleigh Wittier Hayes ne sera plus jamais le même.Dès les premières lignes, le lecteur est emporté par le souffle formidable d'un auteur qui lui impose un rythme tel qu'il est difficile, voire impossible d'en interrompre la lecture. Monument d'humour et de romanesque, proche du génie, ce livre, dans le droit fil des premiers romans de John Irving, est considéré aux Etats-Unis comme un chef-d'oeuvre. Publié en 1986 et jusqu'aujourd'hui inédit en France, nous sommes ravis d'en offrir à nos lecteurs la première traduction.
Lu par : Françoise Sellem
Durée : 16h. 35min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32533
Résumé:Naples, années soixante. Le soir de son mariage, Lila comprend que son mari Stefano l'a trahie en s'associant aux frères Solara, les camorristes qui règnent sur le quartier et qu'elle déteste depuis son plus jeune âge. Pour Lila Cerullo, née pauvre et devenue riche en épousant l'épicier, c'est le début d'une période trouble : elle méprise son époux, refuse qu'il la touche, mais est obligée de céder. Elle travaille désormais dans la nouvelle boutique de sa belle-famille, tandis que Stefano inaugure un magasin de chaussures de la marque Cerullo en partenariat avec les Solara. De son côté, son amie Elena Greco, la narratrice, poursuit ses études au lycée et est éperdument amoureuse de Nino Sarratore, qu'elle connaît depuis l'enfance et qui fréquente à présent l'université. Quand l'été arrive, les deux amies partent pour Ischia avec la mère et la belle-soeur de Lila, car l'air de la mer doit l'aider à prendre des forces afin de donner un fils à Stefano. La famille Sarratore est également en vacances à Ischia et bientôt Lila et Elena revoient Nino. Le nouveau nom est la suite de L'amie prodigieuse, qui évoque l'enfance et l'adolescence de Lila et Elena. Avec force et justesse, Elena Ferrante y poursuit sa reconstitution d'un monde, Naples et l'Italie, et d'une époque, des années cinquante à nos jours, donnant naissance à une saga romanesque au souffle unique.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 4h. 23min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 32532
Résumé:Le silence n'est pas la simple absence de bruit. Il réside en nous, dans cette citadelle intérieure que de grands écrivains, penseurs, savants, femmes et hommes de foi, ont cultivée durant des siècles. A l'heure où le bruit envahit tous les espaces, Alain Corbin revient sur l'histoire de cet âge où la parole était rare et précieuse. Condition du recueillement, de la rêverie, de l'oraison, le silence est le lieu intime d'où la parole émerge. Les moines ont imaginé mille techniques pour l'exalter, jusqu'aux chartreux qui vivent sans parler. Philosophes et romanciers ont dit combien la nature et le monde ne sont pas distraction vaine. Une rupture s'est produite, pourtant, aux confins des années 1950, et le silence a perdu sa valeur éducative. L'hypermédiatisation du XXIe siècle nous contraint à être partie du tout plutôt que de se tenir à l'écoute de soi, modifiant la structure même de l'individu. Redécouvrir l'école du silence, tel est l'enjeu de ce livre dont chaque citation est une invitation à la méditation, au retour sur soi.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 2h. 15min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32525
Résumé:Une passion (la philosophie), une atmosphère (l'hiver), un génie (Spinoza). Avec ces trois brins, Ricardo Menéndez Salmon tresse deux histoires séparées par trois cents ans, mais unies par les deux grandes pulsions humaines, l'amour et la mort. Les deux héros ont en commun d'être espagnol à Amsterdam : Spinoza est surnommé l'Espagnol parce qu'il vient de la péninsule ibérique. Ils ont aussi la pauvreté en partage : l'inventaire des biens terrestres que laisse Spinoza à sa mort serre le c?ur tant la précarité de son existence s'y révèle. La philosophie ne nourrit pas son homme mais réchauffe-t-elle en hiver ? Prenant pour prétexte l'existence grise d'un érudit espagnol qui enterre ses illusions à Amsterdam et celle de Spinoza, qui aima et mourut dans cette même ville, La Philosophie en hiver peut être lue à la fois comme la confession d'un malaise, une biographie atypique et une enquête policière où coexistent la digression philosophique, l'image expressionniste et la fresque historique. Un récit précieux, brillant et rare.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 13h. 39min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 32520
Résumé:" La nature est toujours mythique et mystique ; elle consacre tout son génie à la moindre de ses oeuvres." C'est sous le haut patronage de Henry David Thoreau que s'inscrit Annie Dillard, se livrant à une exploration quotidienne de son environnement. Dans ce "journal météorologique de l'esprit ", elle se fait la chroniqueuse d'une " vallée des merveilles " de l'Etat américain de Virginie où coule la rivière Tinker. Récit d'un écrivain solitaire, ce texte est une splendeur d'écriture poétique, d'observation de la nature, et de réflexion quasi pascalienne sur la place de l'être humain entre l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Lu par : Françoise Malefond
Durée : 18h. 14min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 32643
Résumé:Ce roman esquisse, au coeur de l'Empire romain, le portrait du mystérieux Theophilos, un homme éduqué, épris de vérité et père adoptif de l'évangéliste Luc. Inquiet de voir ce dernier suivre l'enseignement de Yeshua le galiléen, que l'on dit ressuscité des morts, il enquête sur les premiers chrétiens.
Lu par : Françoise Beroud
Durée : 15h. 34min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 32676
Résumé:D'un bout à l'autre du palier ; gribouillés au pastel gras rouge d'une écriture qui ne peut être que celle d'un enfant, courent les mots : DEGAGE DEGAGE DEGAGE. Sur la porte d'une des chambres, entouré par la tempête des DEGAGE ; il y a un autre mot écrit en majuscule, et au marqueur noir : NEGRESSE. Une Amérique crépusculaire, où les rêves ne sont que des leurres. Une société détraquée par la paranoïa et fascinée par le mythe de la sécurité absolue. Un lotissement isolé où des villas surprotégées se dressent au milieu de terrains vagues. Dans ces lieux désolés, trois adultes et un enfant vivent un huis clos terrifiant. Quand ils emménagent dans la plus belle villa du lotissement, Nathaniel et Julia se félicitent de leur chance. Mais pendant la nuit les meubles sont déplacés et les murs tagués. Nathaniel accuse leur fils, Copley, somnambule, de vandaliser les pièces dans son sommeil. Ne pouvant croire à la culpabilité d'un enfant de sept ans, Julia soupçonne Nathaniel. Copley, lui, répète que quelqu'un se cache chez eux et qu'ils sont en danger. Il a raison : dans le bunker secret qu'il a construit au sous-sol, l'ancien propriétaire, ruiné, rumine sa vengeance contre ceux qui habitent sa maison.
Lu par : Marie-Françoise Hude
Durée : 10h. 26min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 32589
Résumé:« Staline vient de mourir. J'ai 16 ans. Je m'appelle Bashia. Je suis polonaise et je n'ai toujours pas fait l'amour. » Cracovie 1953. Alors que Staline vient de mourir, Bashia, adolescente rebelle, s'accroche à son rêve de quitter un pays affamé par les restrictions alimentaires et muselé par la police politique. Contrainte de composer avec les membres d'une famille tous plus originaux les uns que les autres ainsi qu'avec les locataires de leur appartement communautaire, Bashia essaie tant bien que mal de goûter aux joies de son âge. Quitte à y laisser quelques plumes... La liberté à un prix, et Bashia en fait la douloureuse expérience. Ce récit drôle et émouvant, tout en nous immergeant dans la réalité de la Pologne communiste de l'après-guerre, dresse un beau portrait d'adolescente qui restera longtemps dans notre mémoire.
Lu par : Françoise Majesté
Durée : 14h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32619
Résumé:À peine sorti de chez lui, voici S. D. déversé en plein grand Central Parkway, l'autoroute qui mène à New York : au fil des souvenirs qui assaillent son réveil, des routes qui sillonnent sa vie, se dit un exil américain, douloureux et énigmatique. Ces fils, où tenter de les dénouer, sinon chez son analyste, au cours d'une longue séance, où ils s'obstinent à s'enrouler autour du personnage du fils. Particulièrement, dans le rêve du monstre marin, surgi du texte de Racine dans l'esprit du critique endormi. L'interprétation du rêve se reversera dans l'explication du texte racinien, dont la nouvelle lecture permettra de relire en retour la vie du narrateur, qu'on aura suivi entre-temps, après la visite au « psy », à travers le tintamarre solitaire de New York, les silences calfeutrés de l'université, jusqu'à la salle de classe où s'accomplit sa jouissance : le dénouement. Autobiographie ? Non. Fiction, d'événements et de faits strictement réels. Si l'on veut, autofiction, d'avoir confié le langage d'une aventure à l'aventure d'un langage en liberté.